Bursa Uludağ Üniversitesi İktisadi ve İdari Bilimler Fakültesi Dergisi / Uludağ Journal of Economy and Society
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Item Un essai d'interprétation sur les causes de l'instauration d'un pouvoir bureaucratique en Egypte(Uludağ Üniversitesi, 1982) Kotil, Ahmet; İktisadi ve İdari Bilimler FakültesiL'Egypte occupe une place distinctive à l'intérieur des pays post-coloniaux. A l'époque coloniale, il était estraeterisé par une intégration assez poussée au marché mondial par le biais d 'un modèle agro-exportateur, corrélativement par un développement capitaliste non-non négligeable et la formation d'une classe bourgeoise suffisamment forte pour pouvoir participer au système politique colonial, donne également pour une démocratie pour 'elite socio-économique indigene, certes limitée par la présence de la puissance coloniale et de la Couronne; la paysannerie sans terre des fellahs et les pauvres des villes restant à l'écart des mécanismes de participation. Cela signifie que l'Egypte se démarquer de la plupart des pays d'Afrique noire ou de certains pays d'Asie qui, comrne lui, avaient accédé à un pot•voir bureaucratique dominant !Les espaces économique et politique en même temps à la fin de l 'ère coloniale; il possédait une société civile bourgeoise relativement forte. Les sociétés post-coloniales de même type que l'Egypte, c'est-à-dire ayant une bourgeoisie assez forte mais relativement faible pour pouvoir subordonner l'appareil d'État hérité du colonialisme, un appareil d'Etat plus étoffé que ne l'est la base économique indigene, se caractérisent généralement par un système politique dans lequel une oligarchie bureaucratico-militaire jouait un rôle prépondérant dans la médiation des intérêts divergents au sein du bloc au pouvoir, sans pour autant éliminer les bases économiques des classes (en général la grande bourgeoisie et les grands propriétaires terriens) qui formaient ce bloc. En Egypte, les classes dominantes locales étaient certes relativement faibles pour pouvoir contrôler l'appareil d'État colonial,mais durant toute la période coloniale, surtout apres la premiere guerre mondiale, elles avaient accès à cet appareil par I 'intermédiaire du Palais et de l'aristocratie regroupée autour de ce demier; du Parlement, du Wafd qui y était le parti dominant et de certains cercles grands-bourgeois, comme la Banque Misr. la Fédération Égyptienne de ı 'Industrie et I es personnalités issues de ces groupes.Item L'inflation d'appauvrissement en Turquie(Uludağ Üniversitesi, 1983) Parasız, İlker; İktisadi ve İdari Bilimler FakültesiNous voulons d'abord souligner que notre conception de L'inflation d'appauvrissement 1 n'est pas le revers de l'inflation de croissance mais elle est, dans une certaine mesure, la conséquence du mode de croissance économique opte, 11 ya plusieurs années. Après avoir traversé une période d'autarcie économique, la Turquie s'est lancée depuis 1950 dans une croissance économique rapide. II faut bien constater que Jusqu'à la dévaluation de la livre Turque en 7-Septembre-1946 le trait dominant de L'evolution monetaire de La Turquie était une mise en oeuvre d'une politique de la stabilité "à tout prix", même au détriment de l'expansion de l'économie nationale. Mais à partir de 1950, la Turquie s'est engagée dans une politique courageuse et tenace d'expansion et d'investissement rapides s'étendant presque à tous les secteurs de l'économie. La base de cette ·grande expérience n'a fait l'objet ni d'étude, ni de discussions théoriques approfondies. Aussi la technique de cette politique est-elle entièrement empirique.Item Les recherches fondamentales et les méthodes appliquées au sujet de la formation dans l'entreprise(Uludağ Üniversitesi, 1983) Sabuncuoğlu, Zeyyat; İktisadi ve İdari Bilimler FakültesiHistoriquement, la formation et le perfectionnement du personnel dans l'entreprise a été pendant longtemps la préoccupation dominante des dirigeants d'entreprise, des économistes et des sociologues qui étaient tous conscients de l'importance du développement des compétences humaines. Adam Smith a souligné à maintes reprises, dans la richesse de nation, l'importance de l'instruction et il inclut; l'acquisition de telles capacités, du fait de l'entretien de la personne au cours de son éducation, études ou apprentissage, représente une dépense réelle qui est un capital fixe et se trouve réalisée, en quelque sorte, dans sa personne. Ces capacités, de minime qu'elles font partie de sa fortune personnelle, représentent une partie de la richesse de la société à laquelle il appartient. Bien que le problème de la formation systématique ait remis depuis toujours li s'imposer dans l'entreprise,la formation a été longtemps appliquée de façon traditionnelle, sans avoir des principes pédagogiques bien établis, et souvent, contre tous principes. Les industriels considèrent la formation professionnelle comme une affaire personnelle et le personnel lui-même doit prendre l 'initiative, chercher les moyens et supporter les coûts. Les travailleurs, les contremaîtres et même les cadres ne recevaient le plus souvent aucune formation systématique. La méthode adoptée pour les initier à leur futur travail consistait plutôt à se placer auprès des personnes déjà expérimentées. Ces demieres leur expliquaient simplement la façon dont s'accomplit le travail, puis on les laissait essayer de faire par eux-mêmes, en allant de temps ii au tre voir ou ils en sont. Mais ces personnes expérimentées comme formateurs n'étaient pas trop favorables non plus au développement des compétences de nouveau venu en comptant sur la perte de leur place et la crainte du chômage.